Lesautres avis Ford B-Max. 14.03.2019 Ford B-Max 1.0 EcoBoost 125 Titanium (2012) Satisfaction générale : 14.6/20 Satisfaction du propriétaire 10 / 20 45 000 km - 10 l/100km . 07.09.2016 Ford B-Max 1.0i EcoBoost 74kW S/S Trend (2017) Satisfaction générale : 14.6/20 Satisfaction du propriétaire 18 / 20 34 800 km - 8 l/100km Ce véhicule est parfait pour 3-4 CeSUV Ford EcoSport 1.0 EcoBoost 125ch Titanium S d'occasion de 2017 avec seulement 60 584 km, en motorisation Essence vous est proposé au prix de 13 490 € TTC.Votre SUV d'occasion dispose de 5 portes et 5 places, de couleur GRIS LUNAIRE, avec une boîte de vitesses Manuelle pour une puissance de 125 Ch (7 chevaux fiscaux). Sa certification CRIT'Air est de niveau 1 et LaB-MAX 1.0 EcoBoost Start/Stopp a un moteur 1,0 l de Essence . Avec la taille de 998 cc du moteur, il produit 125 chevaux et 170 Nm de couple. La puissance est transmise par une 5 rapports a boîte de vitesses Manuel avec traction Avant . Le véhicule peut accélérer de zéro à 100 km/h en 11.2 secondes. La vitesse maximale est limitée à Vay Tiền Nhanh. Error 403 Guru Meditation XID 600552923 Varnish cache server Essais 1 Essais comparatifs 1 Photos 2 Emissions 1 Vidéos 7 Actualités 10 Cote auto B-Max Voitures occasion Présenté sous la forme d'un concept car proche de la réalité lors du Salon de Genève 2011, puis dans sa version définitive un an plus tard au même endroit, le Ford B-Max est un minispace destiné à remplacer l'anonyme Fusion. Avec son style dynamique et sculpté inspiré du Iosis Max Genève 2009 et fidèle au Kinetic Design qui façonne les Ford actuelles, le B-Max se donne des faux-airs de C-Max en réduction. Mais il se distingue surtout par ses portières arrière coulissante de ce minispace. Premier point, une taille volontairement réduite 4,04 m de long, 11 cm de plus que la Fiesta qui lui prête sa plate-forme faisant de ce modèle le rival direct du Citroën C3 Picasso, davantage que de l'Opel Meriva 2 4,29 m. Mais comme le minispace au Blitz, le B-Max joue la carte de l'originalité et même au-delà en optant pour des portes arrière antagonistes et coulissantes, comme le grand frère Grand C-Max ou le cousin nippon Mazda5 ! Mais la particularité ici, c'est que ces portes peuvent s'ouvrir indépendamment des portières avant ! Résultat, le Ford B-Max offre une ouverture de plus de 1,5 m de large, soit près du double des modèles concurrents. La modularité demeure en revanche plus basique avec une banquette arrière fractionnable 60/40 libérant un planche totalement plat, ainsi que la possibilité de rabattre le siège passager avant pour accueillir un chargement allant jusqu'à 2,35 m de long. L'intérieur s'inspire quant à lui grandement de la récente Fiesta moderne, high tech, un poil baroque peut-être, mais audacieux. Sous le capot enfin, si le B-Max profitera sans surprise des blocs Ford existants, la version de série accueillera également un 3-cylindres SCTi EcoBoost de dernière génération. Voir plus Essais Ford B-Max Essais comparatifs Ford B-Max Photos Ford B-Max Emissions Ford B-Max Vidéos Ford B-Max Actualités Ford B-Max Le C-Max satisfait les amateurs de conduite, quand le C4 Picasso comble la famille. - Alex KrassovskyLe Ford C-Max a été le premier des monospaces à oser adopter un tout petit trois-cylindres turbo-essence. Mais pas n’importe lequel, le très réussi et sophistiqué Ecoboost 125 ch, élu quatre fois de suite Moteur de l’année toutes catégories par un jury international de soixante-journalistes, dont fait partie L’Automobile Magazine. En dépit de sa cylindrée très modeste, ce surprend par sa capacité à déplacer avec une certaine facilité un monospace de presque kg à vide. Grâce à ses 170 Nm de couple disponibles dès tr/mn 200 Nm avec overboost sur les trois derniers rapports accélérateur écrasé, il offre quasiment l’agrément d’utilisation d’un diesel, mais sans les vibrations ni le bruit. Sa sonorité typique de trois-cylindres se montre même assez agréable lors des montées en régime, et sa discrétion, totale sur route et autoroute. Et comme sa consommation demeure raisonnable 7,8 l/100 km en moyenne, il y a vraiment matière à hésiter avec les variantes diesel, pour peu que votre kilométrage annuel demeure sous la barre des km. On se sent moins engoncé dans le C4 Picasso. Impression renforcée par les montants de pare-brise fins. Comme dans son concurrent, les plastiques sont moussés en partie haute. - Alex KrassovskyMais aussi réussi soit-il, ce Ecoboost fait face à un adversaire des plus redoutables. En effet, le PureTech 130, tout juste implanté sous le capot du C4 Picasso en remplacement du terne VTi 120, s’avère l’une des motorisations les plus réussies de la production, auréolé lui aussi du titre de Moteur de l’année dans la catégorie 1 à 1,4 litre. Certes, il bénéficie d’une cylindrée 20 % supérieure à celle du Ford et de 230 Nm de couple permanents. Mais son aisance et sa vigueur sont telles à tous les régimes – dès tr/mn, alors que le Ford se réveille vers tr/mn – qu’on jurerait disposer d’une mécanique bien plus puissante encore. Au point que ce C4 Picasso dépasse aussi vigoureusement en cinquième 11,7 s que le C-Max en quatrième! Et c’est heureux, car la commande de boîte du français accroche, souffre de grands débattements et se montre assez lente. Cette unique faiblesse exceptée, le PureTech surpasse aisément ses frères diesel en agrément d’utilisation, silence, performances, et s’en rapproche côté consommation avec seulement 7,5 l/100 km, soit encore moins que le C-Max 7,8 l! Un maître choix donc, hormis pour ceux abattant largement plus de km par an. PureTech ou Ecoboost, ces trois-cylindres essence font vite oublier le diesel. - Alex KrassovskyAvec un tel moteur, il faut un châssis qui assure. Celui du Citroën fait le travail, mais pas aussi bien que celui du Ford, qui réalise la synthèse quasi parfaite entre confort et tenue de route. Malgré quelques trépidations aux basses vitesses, l’américain bénéficie de suspensions très progressives et ses prises de roulis restent raisonnables. Sa direction, assistée juste ce qu’il faut, offre la consistance adéquate pour sentir le niveau d’adhérence et commande un train avant très précis, presque incisif. Pour les amateurs de conduite et de routes sinueuses, c’est le bon choix. Le Citroën opte, lui, pour une direction bien plus assistée et des suspensions assez souples qui talonnent assez vite en cas de conduite poussée. S’il n’apprécie pas d’être brusqué, il soigne davantage le confort de ses occupants. Un trait de caractère que l’on retrouve à bord où, en dépit d’une largeur habitable équivalente à celle de son rival, le C4 Picasso, avec sa planche de bord plus claire, moins "enrobante", et des montants avant plus fins, donne davantage la sensation d’espace. À l’arrière, la place aux jambes, suffisante pour des adultes, ne permet pas de les départager, contrairement à la modularité, plus réussie chez le français avec ses trois sièges se rabattant contre le soubassement et formant un plancher plat dans le prolongement du coffre. De plus, ses trois assises indépendantes coulissent vers l’avant sur 14 cm, pour accroître le volume de la soute en cas de besoin de 380 à 450 dm3 sous tablette. Dans le Ford, planche de bord façon "cockpit" et position de conduite proche de celle d'une berline gomment la sensation d'être au volant d'un monospace. - Alex KrassovskyLe C-Max a opéré, lui, un choix original avec son siège central se repliant en arrière dans le coffre – son volume chute alors à 300 dm3 – et les deux extérieurs reculant en diagonale vers le centre pour donner davantage d’aisance à deux occupants. De plus, les sièges arrière du Ford doivent être démontés, péniblement, pour obtenir son volume maximal de dm3, quand le Citroën libère en un tournemain dm3 juste en rabattant les siens. Et puis, si ces deux monospaces disposent de suffisamment de rangements, le Picasso va plus loin avec des bacs de portes plus vastes, une boîte à gants climatisée et un espace pour poser son smartphone, bien en vue, tout près des prises USB au milieu de sa console centrale. Enfin, aucun des deux ne fait référence en matière d’ergonomie. Le Ford progresse en adoptant un écran tactile qui supprime une multitude de boutons sur la console centrale, mais conserve bien trop de commandes sur le volant, comme le Citroën d’ailleurs. Et si ce dernier a mené une grosse chasse aux boutons, son écran tactile manque de réactivité pour être vraiment fluide. Le C4 Picasso, de haute lutteLa bagarre est serrée entre ces deux très bons monospaces essence. Le Picasso prend un léger avantage grâce à une vie à bord et une modularité plus abouties, sans oublier un moteur encore meilleur. Moins cher, le C-Max garde pour lui un châssis plus dynamique.

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